Bonjour Abdennour Nouiri,
Il y a 20 ans tombait le mur de Berlin et avec lui disparaissait
Le 9 novembre 1989, en effet, s’écroulait un mur et des mythes. Parmi ces mythes la toute puissance sur le plan sportif d’une Allemagne démocratique qui a poursuivi 40 ans durant une guerre sur la cendrée des stades contre le frère capitaliste de l’Ouest. Je dis contre même si souvent c’est « avec » qu’il faut dire. Je m’explique : plus d’une fois aux Jeux Olympiques, les deux Allemagnes ont concouru côte à côte au sein de la même délégation même si la rivalité demeurait de mise. En 40 ans d’existence
Alors justement, parlons-en de ce prix à payer. Le pays a fait des sacrifices pour former autant de champions … ?
On ne doit pas occulter tout ce qu’a apporté
Que s’est-il passé après la chute du mur de Berlin pour ces sportifs hors norme… ?
Ils ont perdu tous leur privilèges et ce n’est pas peu dire.
Revenons chez nous. On élit aujourd’hui le successeur de Mustapha Berraf à la tête du Comité Olympique Algérien. Peut-on espérer que cette fois sera la bonne ?
Vous vous souvenez qu’une première AG élective avait été reportée sine die en l’absence de quorum, les fédérations olympiques l’ayant boycottée. La seconde s’est tenue une semaine plus tard et M. Belhadj avait été élu. Le CIO s’en est mêlé et nous voici à quelques minutes de la tenue de la troisième Assemblée Générale élective. Qui l’emportera des 3 candidats en lice ? Belhadj l’ex-nouveau président éphémère, Chaouch Téyara, l’ancien bras droit de Berraf à moins que ce ne soit ce trouble fête de Rachid Hanifi, membre actuel du bureau fédéral de football. Qui que ce soit, on lui souhaite de rassembler au maximum toutes les forces vives de ce pays. L’olympisme en Algérie a bien besoin d’un peu de sérénité.
Un dernier mot sur un entraîneur qui défraie la chronique…
Il a pour nom Mohamed Henkouche. En l’espace d’un mois, il en est à son troisième club de D1 : CRB, MSPB et maintenant CABBA qui dit mieux ? Après cela qu’on ne vienne pas nous parler de stabilité et de travail au long cours. Il est temps que
Merci,
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