samedi 17 avril 2010

Parlons sport du 17 avril 2010

Dans ce Parlons sport , vous allez revenir sur trois coups de gueule entendus dans l’émission « Football magazine » diffusée hier sur notre antenne…
Hé oui, c’est la base qui se rebiffe et qui le dit clairement au sommet. Tant la FAF, la LNF que le staff technique de l’équipe nationale ont été pris à partie par différents intervenants. Tout d’abord Mohammed Zemmamouche, le gardien du MCA qui en veut à Benchikha pour ne pas lui avoir annoncé, en face à face, son éviction de l’équipe nationale des A’. Zemmamouche avait contesté des décisions de l’arbitre lors du match de coupe qui avait opposé son club à celui de Batna. Le joueur incriminé avait appris sa suspension des Fennecs par le biais de la presse...
Cela nous rappelle le comportement de Saadane vis-à-vis des joueurs locaux écartés après la rencontre face à la Serbie… ?…
Tout à fait! Il semble donc que la leçon n’ait pas été retenue du côté du staff technique. Nos joueurs ont besoin de considération et l’encadrement des Verts ne semble pas soucieux de leur en apporter. Zemmamouche a employé le mot de père en parlant de son entraîneur des A’. Je crois qu’un père est là pour éduquer et non pas seulement pour sanctionner. Le staff technique doit faire preuve de plus de psychologie, s’il veut que le groupe demeure soudé à tous les échelons.
Le second ras le bol nous vient d’une dame, entraîneur de football de son état …
Naima Laouadi a quitté la France pour venir entraîner le club de Bélouizdad. Elle a laissé libre cours à sa colère devant le manque de « considération » dont font preuve les dirigeants du football fédéral à l’égard des féminines. Elle leur reproche en outre la suppression du championnat national qui a été remplacé par des championnats régionaux, les premiers de chacune de ces compétitions régionales se retrouvant pour une sorte de finale nationale. Si son énervement est légitime concernant son club, qui paraît avoir souffert de la programmation en coupe, il peut sembler prématuré de lancer une compétition nationale unifiée, digne de ce nom, tant que le football féminin ne se sera pas développé également dans toutes les régions. Le chemin sera long et il passe nécessairement, là aussi, par la formation. Il ne faut pourtant pas désespérer et à voir le niveau qui a prévalu lors de la finale de coupe d’Algérie qui a opposé hier les filles d’Alger Centre à celles de Relizane, on peut être confiant : notre football féminin est prometteur…
Mohamed Medouar, le président de l’ASO Chlef s’en prend lui à la programmation des matches faite par la Ligue Nationale de Football…
Il s’agit en fait de la déprogrammation du match Sétif-Chlef en demi finale de la coupe d’Algérie. La rencontre a été décalée d’une journée pour permettre aux Sétifiens retenus en sélection A’ de pouvoir récupérer de leur voyage en Libye. Ceci est tout à fait légitime. Mais la question qui se pose est : « pourquoi ne pas y avoir pensé avant d’annoncer la première programmation » ? Les joueurs retenus par Benchikha étaient connus avant que l’instance fédérale ne rende public le programme de ces demi finales. Dans une précédente chronique nous avions employé les mots de programmation à géométrie variable. Il est évident que cela n’est pas prêt de changer. Maintenant, quant à l’horaire assez tardif de 20 h 45, il est dû à l’intervention de la télé : l’ENTV, au lieu d’adapter son sacro saint
journal télévisé de 20 h. à la circonstance, a préféré imposer un horaire qui n’est pas compatible avec les habitudes de déroulement des matches chez nous. En cas de prolongation et de tirs au but, la rencontre entre Sétif et Chlef risque de se
terminer aux alentours de 23 h 30. A-t-on pensé aux supporteurs chélifiens qui devront effectuer un trajet de plusieurs centaines de kilomètres en pleine nuit ? Et la sécurité routière dans tout cela... ?
Aujourd’hui, nos joueurs de la sélection A’ jouent leur va tout en Libye pour ce match retour des éliminatoire du championnat d’Afrique des locaux qui aura lieu en 2011 au Soudan…
Lors du match aller les protégés de Benchikha ne s’étaient imposés que par un but d’écart à Koléa, ce qui est peu, au vu de la valeur des joueurs libyens. Nos adversaires n’ayant pas d’expatriés en leur sein, c’est donc l’équipe de Libye qui a participé aux éliminatoires de la coupe d’Afrique d’Angola que rencontreront nos représentants. S’ils venaient à se qualifier, ce serait un signe fort : le retour de l’Algérie dans le gotha africain. Les coéquipiers de Cédric Si Mohamed, qui remplace Zemmamouche dans les buts, ont rallié la Libye avec un cœur gros comme ça. Ils peuvent très bien, comme l’ont fait le CRB, l’ESS et la JSK, se qualifier au prochain tour en obtenant, en terre adverse, un bon résultat.
D’autant que Saadane sera présent et qu’il se pourrait que l’un ou l’autre des joueurs puisse gagner ses galons parmi les Fennecs et aller ainsi en Afrique du Sud… ?
N’allons pas trop vite en besogne. Saadane doit d’abord annoncer une liste de 30 joueurs avant de sélectionner au terme du stage hélvéto-germanique les 23 heureux élus pour la coupe du monde. Donc wait and see
On a beaucoup parlé ces derniers temps du fameux maillot des Fennecs qui bat des records de vente en France mais qui est introuvable en Algérie…
En effet, le maillot des Verts, qui est cédé à 75 euros, est en train de crever le plafond puisqu’il passe devant celui des Tricolores dans le hit parade des meilleures ventes de maillots nationaux en France. Alors, vous vous demandez pourquoi il n’est pas commercialisé chez nous. La réponse nous a été révélée ce mardi, au cours d’une conférence qu’a donnée, dans le cadre d’une rencontre organisée par le CARE à l’ESAA, M. Abdelkader Boumessila. Le conférencier, ancien directeur du port de Béjaia, nous a ainsi appris que l’équipementier des Verts avait renoncé à fournir les maillots aux fans algériens pour manque de logistique au niveau national. Cette assertion mérite certainement une explication des concernés. Là aussi, nous ne pouvons que nous perdre en conjectures…
Un dernier mot sur l’introduction de l’oreillette au sein de l’arbitrage en Algérie. Qu’est-ce qui va changer… ?
Beaucoup de choses, dans la mesure où le 4ème arbitre va pouvoir communiquer dans l’instant avec le directeur de jeu et lui signaler ce qu’il n’aurait peut-être pas vu. Autre changement de taille : toutes les discussions avec le référé seront enregistrées. A une semaine près, on aurait su ce que Zemmamouche a vraiment dit à l’arbitre.
Les joueurs n’ont qu’à bien se tenir à l’avenir. On vous retrouvera, Abdennour Nouiri, la semaine prochaine pour un autre décryptage de l’actualité sportive dans
« Parlons sport » et je rappelle que l’on peut retrouver cette chronique sur votre blog dans
« lemastuvu.blogspot.com »

Pour écouter cette chronique utilisez le lien suivant: http://macle.voila.fr/index.php?m=c9ae77e8&a=7d397569&share=LNK96964bc988494748a

samedi 10 avril 2010

Parlons sport du 10 avril 2010

Dans ce Parlons sport vous allez revenir sur la dernière réunion du bureau exécutif de la FAF qui vient de prendre quelques décisions qui feront date…
Fidèle à sa ligne de conduite, M. Raouraoua, le président de la FAF a jeté les bases de la construction d’un véritable football national durable. Ainsi le fait de ne plus avoir recours à des joueurs étrangers et celui de limiter l’effectif de chaque club de l’élite à 25 joueurs vont amener nos présidents à se tourner vers la formation. Le nombre de juniors pouvant évoluer en équipe première n’étant pas limité, on leur fera de plus en plus appel. Finie cette politique du recrutement à tout va qui a fait tant de mal et à nos clubs et partant à tout notre football. Notre équipe nationale ne peut plus compter sur des joueurs du cru, tout simplement parce que les locaux ne sont pas assez formés. Et voilà donc que l’on va reparler de ces centres de formation qui font défaut à la plupart de nos clubs. C’est là la pierre angulaire d’un professionnalisme bien compris.
Cette semaine écoulée, on a entendu deux entraîneurs de renom, Lechantre du Club Africain et surtout Michel Hidalgo faire l’éloge de Rabah Saadane…
Nul n’est prophète en son pays, pourrions nous dire en lisant toutes les critiques auxquelles fait face le coach national. On lui reproche rien moins que de vouloir donner à l’équipe nationale les meilleurs joueurs devant nous représenter en Afrique du Sud. De partout des voix s’élèvent pour faire barrage à la venue des nouveaux sélectionnés dont on connaîtra très vite les noms. Saadane s’est expliqué dans une interview à une télévision marocaine. Il a répété qu’il lui fallait des remplaçants de valeur sur le banc et c’est la raison pour laquelle il doit récupérer, poste pour poste, 3 à 4 joueurs pour remplacer les locaux dont il s’est séparés après le match face à la Serbie. Et comme vous l’avez dit on a entendu et Lechantre et Hidalgo apporter de l’eau au moulin de Saadane. Ils ont tous deux réaffirmé que ce n’était pas chambouler une équipe que d’y incorporer de nouveaux éléments à quelques semaines du mondial.
Encore des polémiques concernant la probable venue de ces néo Fennecs, certains parlent même des nouveaux patriotes
Encore une fois sachons raison garder. Les joueurs qui se sont dits disponibles pour rejoindre l’équipe nationale ne sont ni plus ni moins patriotes que ceux qui l’ont quittée. Abondance de biens ne nuit pas. Beaucoup de joueurs, nés en France pour la plupart, sont aptes à revêtir les couleurs nationales. Qui s’en plaindrait ? Il fut une période où nous n’avions pas beaucoup de choix, les temps ont changé et même un joueur comme Habib Bellaid qui aurait pu revêtir le maillot tunisien préfère être un Vert. Il y a quand même de quoi se montrer très fier que nos jeunes nés outre mer gardent un lien si intense avec le pays.
Certains disent que ce regain d’intérêt pour l’équipe nationale est dû à sa qualification en coupe du monde …
Je vous le redis, on ne saurait mettre en doute l’engagement pour l’équipe nationale des derniers arrivés et des potentiellement sélectionnables. Les joueurs de l’autre côté de la Méditerranée ouvrent les yeux et ils s’aperçoivent que, même s’ils sont sélectionnés en jeunes chez les Tricolores, cela ne sous entend pas une carrière à la Zidane. Benarfa de Marseille et Nasri d’Arsenal en savent quelque chose eux qui ne sont plus appelés par Raymond Domenech. Cela donne à réfléchir au plus grand nombre de joueurs de qualité d’origine algérienne.
Mais à ce jeu-là notre équipe nationale ne sera formée que de joueurs évoluant à l’étranger…
A partir du moment où ces championnats sont plus relevés que le nôtre, on ne s’en plaindra pas. Un joueur qui fait ses preuves en Bundesliga, c’est quand même autrement plus valorisant pour notre sélection nationale que d’être le meilleur buteur de notre championnat. Nous serons dépendants de la formation dans les clubs européens pendant encore de longues années. Tant que tous les clubs ne feront pas comme le Paradou qui a lancé grâce à Guillou sa propre académie, donc tant que notre football ne sera pas capable de produire des Madjer, Belloumi et autre Assad, nous serons toujours à l’écoute des championnats étrangers pour dénicher la perle rare qui fera les beaux jours des Fennecs.
Mais cette semaine nous a quand même valu une triple qualification dans les coupes africaines de clubs. C’est un signe de renouveau… ?
Bien sûr, on ne peut que se réjouir de voir Sétif, Tizi Ouzou et Bélouizdad conti-nuer leur aventure africaine au moment même où l’Egypte qualifiait 4 équipes et que la Côte d’Ivoire n’en avait plus aucune. Le chemin du renouveau est long. Il passe déjà par une participation à la phase finale du CHAN de nos A’ et donc par une victoire sur la Libye dans quelques jours.
Justement à propos de ces A’, Lemouchia endosse de nouveau le maillot des Verts après sa saute d’humeur de la CAN angolaise…
Les dirigeants de notre football ont montré à plusieurs reprises qu’ils n’étaient pas là uniquement pour sanctionner ceux qui avaient fauté mais aussi pour leur donner une seconde chance. C’est le cas pour Khaled Lemouchia qui sera d’un grand apport pour les protégés de Benchikha. Le président Raouraroua dont on dit que c’est une main de fer dans un gant de velours vient de montrer que le pardon grandit celui qui l’accorde. Pourvu maintenant que le concerné sache reconquérir la confiance de ses responsables et retrouver sa place en équipe nationale.
Espérons que votre appel soit entendu et que la sérénité revienne dans les rangs de nos Fennecs. C’est tout ce que nous leur souhaitons pour aborder une coupe du monde qui nous fait déjà rêver. On vous retrouvera, Abdennour Nouiri, la semaine prochaine pour un autre décryptage de l’actualité sportive dans « Parlons sport ».

Pour écouter cette chronique, recopiez ce lien: http://macle.voila.fr/index.php?m=c9ae77e8&a=7d397569&share=LNK70634bc097c7e4a90

samedi 3 avril 2010

Parlons sport du 3 avril 2010

Dans ce Parlons sport vous allez passer tout d’abord un coup de gueule et cela suite au match ayant opposé hier la JSK au Club Africain…
Incompréhensible l’attitude de Yahia Chérif qui venait de marquer le 1er but des Kabyles et qui ne trouvera rien de mieux que d’ôter son maillot, ce qui lui occa-sionnera un avertissement de la part de l’arbitre libyen ! Mais voilà, le buteur en avait déjà pris un autre en cours de jeu, donc direction les vestiaires. Et pour une gaminerie, on va laisser ses coéquipiers jouer à 10. Cette situation, je l’avais déjà vue jouée par Hadj Aissa lors du match aller de finale de coupe d’Afrique à Sétif entre l’entente et le Stade malien. Bien sûr, Hadj Aissa n’avait pas évolué au match retour et l’on sait comment les Sétifiens ont laissé échapper le trophée continental. Après cela, on va encore parler de professionnalisme ! Mais quelle mouche pique donc nos joueurs pour vouloir se dévêtir à tout prix devant leurs supporteurs dès qu’ils réussissent un but ? N’y a-t-il pas de responsables au sein de leurs clubs pour leur rappeler que ce geste s’accompagne irrémédiablement d’un carton jaune ? Je pense que des sanctions financières feront réfléchir nos buteurs récalcitrants.
Les présidents chez nous n’ont plus le vent en poupe. Après le basket, c’est celui du tae kwando qui est dans de mauvais draps… ?
C’est une épidémie semble-t-il qui frappe notre sport. Jugez en ! L’escrime a deux présidents, dont l’une reconnue par sa fédération internationale et par les tribunaux algériens mais pas par les autorités de tutelle. Le cyclisme, lui, a un président qui ne répond pas aux normes édictées par l’UCI, l’Union Cycliste In-ternationale et cela va priver l’Algérie de la participation à des courses régionales ou mondiales. Le basket fait bien les choses : le président reçoit le quitus du commissaire aux comptes, mais se voit accueillir par des cartons rouges de la part des membres de son AG. Le bureau fédéral de la balle haute n’a d’autre choix que de rendre le tablier. Dernier en date, le président de la fédération de Tae Kwando qui, lui, doit affronter dès aujourd’hui des membres d’une assemblée générale très remontés contre sa gestion si l’on se fie aux communiqués de presse lus cette semaine.
Et voilà que Hanachi, lui-même jette un pavé dans la marre en annonçant qu’à l’âge de 60 ans, il est prêt à passer le témoin à plus jeune que lui …
Vous savez la responsabilité, cela use et surtout quand on y met toute son énergie et toute sa passion. Hannachi est à la tête de la JSK depuis deux décennies et l’on comprendrait qu’il veuille prendre un peu de recul. Ce n’est certainement pas l’âge qui est en question dans la mesure où dans bien des clubs de renommée mondiale, des présidents ont dépassé allègrement ce seuil. Le tout est une question d’engagement. Maintenant dans le nouveau paysage footballistique qui se dessine peu à peu et qui prendra forme définitivement en 2011, peut-on postuler à un poste de président sur le seul critère d’avoir été un footballeur, un enfant du club comme on dit ? Certainement non. Il ne suffit plus d’avoir chaussé les crampons dans sa jeunesse pour pouvoir piloter cet avion cargo que va devenir le club pro. Des formations comme celle de Paris St Germain ou de l’OMarseille ont même fait appel à d’anciens journalistes sportifs pour leur confier les commandes de leurs paquebots, ces Titanic qui peuvent couler corps et biens s’ils venaient à être mal pilotés.
Alors que peut-on dire sur ces batailles au sommet … ?
La seule chose sur laquelle on pourrait s’avancer, c’est qu’il ne faut pas essayer de forcer la main à quelqu’un qui sent que le moment est venu pour lui de tirer sa révérence. Inversement, que les apprentis sorciers qui préparent les successions dans une quasi pénombre prennent bien soin de se rappeler qu’il y a toujours un retour de manivelle. La parole doit revenir aux membres élus des assemblées générales qui doivent juger en leurs âmes et consciences et non par la grâce d’une poussée due aux vents dominants. Notre sport ne se relèvera qu’à cette condition.
Les vacances scolaires et universitaires se sont achevées et maintenant place aux révisions pour les différents examens mais aussi préparation aux différents matches qui vont clore cette saison sportive chez nos lycéens et étudiants … ?
Avril et mai sont en effet les mois pendant lesquels nos potaches se retrouvent pour les championnats nationaux en sports individuels ou collectifs! Quand on a été soit même lycéen ou étudiant, on sait ce que représentent ces mois de printemps au cours desquels les lauriers vont être distribués à ceux qui auront su se transcender sur la cendrée des stades. Le sport de l’école à l’université devrait demeurer une constante dans l’esprit des décideurs. Force est de constater que des infrastructures universitaires sont en cours de construction à l’intérieur et dans la périphérie d’Alger sans qu’on ne voit poindre de salles de sports attenantes. Le sport ne peut se soustraire à l’influence de l’université. Inutile de rappeler que le handball nous a valu des heures de gloire tout simplement parce que des universitaires le pratiquaient dans leurs clubs mais bien aussi au sein des équipes de leurs facultés. Un institut comme celui de l’ISTS gagnerait, lui, à changer de statut et à devenir une grande école comme le sont HEC Alger ou Polytech : des chercheurs en sport, on en a aussi besoin, comme le soulignait encore jeudi sur notre antenne, le professeur Hocine Zerguini, directeur de l’ISTS.
Espérons que votre appel soit entendu et que reprenne ses lettres de no-blesse cette devise qui vous est si chère, vous l’ancien responsable du sport universitaire : « mens sana in corpore sano …».

…Un esprit sain dans un corps sain !

On vous retrouvera, Abdennour Nouiri, la semaine prochaine pour un décryptage de l’actualité sportive dans un autre « Parlons sport ».

Pour écouter cette émission recopiez ce lien: http://macle.voila.fr/index.php?m=c9ae77e8&a=7d397569&share=LNK40914bb7806cc0d45